Mais les autorités équatoriennes ont proposé un truc...
"Plutôt que de compenser a posteriori les émissions de CO2, on veut bien les éviter en laissant le pétrole là où il est. En échange, la communauté internationale nous donne l'argent que leur compensation nécessiterait. 2,7 Milliards d'euros."
Le Plan des Nations Unies pour le Développement a dit OK. L'Allemagne, l'Espagne, la Belgique, la France et la Suède ont notamment annoncé leur soutien.
C'est une première et ça a été laborieux. Pas de précédent, pas d'exemple. Il a fallu tout faire, écrire tous les textes qui blindent l'accord pour éviter toute exploitation du gisement. Les modes d'utilisation de l'argent font également partie de l'accord.
La meilleurs garantie de réussite est le soutien de la population équatorienne dont les 3/4 se rangent sous cette option!
Plusieurs pays – l'Indonésie, le Vietnam, le Guatemala – envisagent d'emboîter le pas à l'Equateur. Et de "yasuniser" certaines de leurs ressources non renouvelables.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire