Comme le rapporte le magazine Wired, l'idée est née en 2011 à Dublin à l'occasion d'un sommet sur la violence extrémiste. La réunion en question avait réuni une cinquantaine de terroristes repentis, parmi lesquels d'anciens activistes du Hezbollah, d'Al-Qaida ou encore des FARC colombiens.
De cette réunion est sorti le constat que d'anciennes victimes voire d'anciens auteurs pouvaient avoir une très grande influence sur les personnes tentées par la violence extrémiste. Aujourd'hui, le réseau AVE compte 62 repentis et 29 survivants pour un total de 551 connexions.
Cela fait pas mal d'opportunités de détourner des pulsions et de calmer le jeu...