mardi 26 avril 2011

Réseau socialisant.

Voilà un réseau où il est inutile de remplir un profil pour entrer.
Puisque l'essentiel ne se passe pas sur le net.
Il s'agit d'un réseau composé de personnes ayant décidé d'arborer un signe distinctif dans la rue: Badge, autocollant, T-Shirt... Ceux-ci étant là pour signaler qu'on est ouvert à la discussion et à l'échange intempestif. L'objectif étant de faciliter l'entrée en matière et en interaction dans l'espace public réel. Socialisant...

Bien sûr, il y a des outils en ligne, annonces, forums, etc... Mais rien qui soit dans l'immédiateté et l'instantanément périssable. Ces outils n'étant mis à disposition que pour produire du liens dans la réalité matérielle. Ce qui explique que c'est également ouverts aux lieux recevant du public, qui y trouveront forcément leur intérêt.

Et au dela du lien pour le lien, c'est aussi remettre en avant l'idée que le lien a des implications quotidiennes, que l'entraide passe par le réél partagé... Le co-voiturage, le prêt de matériel, un petit service (Dans les propositions, j'aime bien "Garder un enfant les jours de grèves")

Je trouve appréciable que ce service soit payant. Car d'une part cela permet un peu de revenir à l'idée que le temps passé, les idées, le travail fourni ont un prix dont il faut s'acquitter d'une manière ou d'une autre. Et donc d'autre part, cela évite la publicité. Enfin, cela cré aussi un certain engagement. On ne rentre pas complètement sur un coup de tête...$

Et en plus ça s'appelle "J'suis sympa."

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lundi 18 avril 2011

Fiabilité des éoliennes faces aux aléas sismiques...

Contrairement à ce que disaient les détracteurs de l'éolien qui prédisait l'écroulement des mâts et turbines au moindre séisme et leur manque de résistance au tsunami, les éoliennes (onshore et offshore) installées au Japon ont non seulement résisté au plus fort séisme jamais enregistré dans l'histoire du pays mais aussi au tsunami de l'ampleur que l'on sait. Kelly Rigg, directrice de GCCA (Global Campaign for Climate Action) signe, à ce sujet, un article dans le The Hufftington Post du 22 Mars 2011, elle y fait état des correspondances qu'elle a échangé avec les responsables de l'éolien japonais sur la stabilité du réseau électrique éolien pendant la crise. Il ressort de ces correspondances que toutes les éoliennes japonaises actuellement en fonction ont survécu au tremblement de terre, y compris les turbines semi offshore situées à proximité de l'épicentre du séisme comme celles-ci, celles de Kamisu, situées à 300 km de l'épicentre.

Ce dernier parc a aussi résisté au tsunami, validant du même coup les normes anti-sismiques qui ont présidé à son élaboration, comme sans doute les plus fiables du monde... Le petit plus : ce sont les parcs éoliens japonais qui pendant la défection de la centrale nucléaire de Fukishima assurent l'alimentation en électricité de la région de Tokyo...

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